L'Agriculture locale,
Le pilier de nos territoires



Un bien commun à préserver
On vous en parlait dans un précédant article : nous sommes engagés dans la production et la consommation éthique, locale et responsable. Notre objectif ? Soutenir les producteurs locaux en leur garantissant une rémunération juste tout en favorisant la commercialisation de proximité.
Réparation et entretien des machines, récolte, vente, packaging, communication, … L’agriculture est créatrice d’emplois. Elle est également porteuse de l’image d’un territoire : en Isère, nous sommes réputés pour certaines saveurs, certains produits incontournables. Et c’est ici qu’ils sont produits. Soutenir les producteurs locaux, c’est soutenir le patrimoine et l’Histoire de notre territoire.
Chacun son rôle
Les acteurs du territoire jouent chacun un rôle essentiel dans la dynamique locale. Les agriculteurs, au cœur du système, innovent et valorisent leurs savoir-faire pour proposer des produits de qualité issus du territoire.
Les artisans et commerçants, tels que le boulanger-pâtissier choisissant des farines locales, des œufs de la ferme ou le restaurateur cuisinant des produits locaux, participent activement à la mise en valeur de cette production. Les magasins, en dédiant des rayons à la marque, amplifient la visibilité des produits et des producteurs.
Les consommateurs, en privilégiant les circuits courts et les produits locaux, soutiennent directement cette économie en montrant leur intérêt pour de tels produits.
Enfin, les collectivités et entreprises ont un rôle d’exemplarité en adoptant des pratiques responsables : approvisionner les cantines en produits locaux, favoriser les achats durables et développer des partenariats avec les acteurs du territoire.
Une démarche vertueuse pour tous
Et porter son rôle est bénéfique ! Au-delà de l’aspect économique nous pouvons également espérer un travail… entre humain ? Des conseils, des avis, des échanges constructifs, échanger avec les producteurs ou acheter leurs produits c’est aussi avoir la possibilité de mieux comprendre ce que l’on mange. Et finalement, trouver un équilibre économique, écologique et sociale…
C’est pas mal non ?



